Je ne tiens pas à vous faire l’affront de rappeler le livre, mais simplement vous invitez a comprendre comment celui-ci peut faire raisonner des questions de management.
Comment un besoin de vengeance personnel peut conduire un groupe d’homme à la tragédie, comment un combat vain contre les forces de la nature, peut se transformer en folie suicidaire.
Comment peut-on embarquer des destins en simple quête d’aventure, vers la mort ( économique ou physique ).
Je ne peux évoquer ce livre sans parler de notre position face à nos obsessions, nos stress, devant la fatalité des forces qu’on ne peut maitriser, qu’on ne peut dompter, et quel point cela peut nous isoler, nous rendre seul.
L’humilité, et l’importance d’avoir des ressorts seins dans ses objectifs, et maintenir de conditions harmonieuses sont prouvés dans ce récit.
La bienveillance et l’ouverture aux autres, à son équipage sont les grands absents de ce récit.
Vous y verrez peut être de un brin d’humour, mais si le capitaine Achab avait pratiqué le lâché-prise, et l’intelligence collective ;
Une des plus belle fiction de la littérature serait tout autre, à vous d’imaginez la suite.
-la croisière s’amuse, non ? quand même pas.